Megan Oxland September 2023

Meet Megan Oxland!

le français suivit

Megan Oxland (she/her) is a PhD student at McMaster University working with Dr. Laura Parker. Having previously completed her BSc in mathematics at the University of British Columbia, she moved to Hamilton, ON to pursue graduate studies in astrophysics. During her time at UBC, Megan was a LEGO robotics instructor where she taught young children how to program robots at an after school program. This job sparked an interest in both teaching and science outreach, two things she is still heavily involved with today. At McMaster, Megan is a presenter at the William J. McCallion Planetarium, and over the past year has also been involved with the McMaster portable planetarium. She is a member of Promoting Inclusion in Physics and Astronomy, and helps to organize the annual event Elevate: a Day for Inclusion in Science. Outside of academia she loves to bake and embroider, and plays on the Physics and Astronomy softball and inner tube waterpolo teams.

Megan is an observational astronomer who studies the evolution of galaxies in dense environments. As galaxies fall into groups and clusters they experience a reduction in star formation (a process known as quenching), and they transition in morphology from spiral to elliptical. However, there is no consensus among astronomers as to what the dominant environmental quenching mechanism is that drives this evolution. Using observational data from the Sloan Digital Sky Survey and galaxy position in projected phase space, she traces the evolution of star formation rate and morphology as a function of infall time (the time a galaxy has been a part of it’s current environment). By studying the timescales associated with the changes in these two properties, she is interested in determining the dominant environmental mechanism that drives galaxy evolution in groups and clusters.

Figure 2 from Oxland+(submitted) which shows the quenched fraction of galaxies as a function of infall time. The three panels correspond to low, intermediate, and high mass galaxies, respectively, in groups (dotted lines) and clusters (solid lines). The quenched fraction of the isolated field galaxies is shown as a black star, and the black dashed line denotes a quenched fraction of 0.5. The main take away from this figure is that the quenched fraction increases over time for galaxies of all masses falling into both groups and clusters. However, the strongest trends are found in low mass galaxies falling into groups. This suggests these galaxies are the most affected by their environment. Français: Figure 2 de Oxland+ (soumis) qui montre la fraction de galaxies quenchées en fonction du temps de chute. Les trois panneaux correspondent respectivement aux galaxies de petite, moyenne et grande masse, dans les groupes (lignes pointillées) et les amas (lignes continues). La fraction de galaxies isolées quenchées est représentée par une étoile noire, et la ligne en tiret montre une fraction de quenching de 0.5. Le message principal de cette figure est que la fraction de quenching augmente avec le temps pour les galaxies de toutes masses, que ce soit dans les groupes ou les amas. En revanche, les plus fortes tendances sont trouvées dans les galaxies de petite masse chutant dans les groupes. Cela suggère que ces galaxies sont les plus affectées par leur environnement.

Megan Oxland (elle) est doctorante à McMaster University sous la supervision de Dr. Laura Parker. Ayant précédemment complété son Bachelor en Mathématiques à University of British Columbia (UBC), elle a déménagé à Hamilton, ON afin de poursuivre ses études en astrophysique. Pendant ses études à UBC, Megan était une instructrice en robotique pour LEGO où elle a enseigné à des jeunes enfants comment programmer des robots lors d’un programme extra-scolaire. Ce travail a généré chez Megan un intérêt pour l’enseignement et la vulgarisation scientifique, deux choses avec lesquelles elle est toujours très impliquée aujourd’hui. À McMaster, Megan est présentatrice au Planétarium William J. McCallion, et l’année dernière elle gérait également le planétarium portatif de McMaster. Elle est membre de Promoting Inclusion in Physics and Astronomy, et aide à organiser l’évènement annuel “Elevate: a Day for Inclusion in Science”. En dehors des études, Megan adore faire des gâteaux et broder, et elle joue dans les équipes de softball et de inner tube water-polo du département de Physique & Astronomie.

Megan est une astronome observationnelle qui étudie l’évolution des galaxies dans les environnements denses. Lorsque les galaxies tombent dans les groupes et les amas, elles subissent une réduction de leur taux de formation d’étoiles (un processus appelé quenching) et elles transitionnent en morphologie de spirale à elliptique. Cependant, il n’y a pas de consensus parmi les astronomes sur le mécanisme environnemental de quenching dominant qui dirige cette évolution. En utilisant les données du Sloan Digital Sky Survey et la position des galaxies dans l’espace des phases projeté, Megan retrace l’évolution du taux de formation d’étoiles et de la morphologie en fonction du temps de chute (le temps depuis qu’une galaxie fait partie de son environnement actuel). En étudiant les échelles de temps associées aux changements de ces propriétés, elle cherche à découvrir quel est le principal mécanisme environnemental de quenching des galaxies dans les groupes et les amas.

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